Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 9 ans
Le TGV en provenance de Paris entre en gare de Marseille. Après 3h de voyage climatisé, Kerry sort dans la chaleur étouffante de la ville. Elle fait quelques pas, hèle un taxi, range sa valise dans le coffre et direction le port. Kerry met le pied sur la parcelle et regarde le grand bateau avec amertume. Cela devait être une croisière romantique pour fêter 2 ans de vie commune. Alexandre lui avait fait la surprise, quelques mois plutôt. Il avait tout organisé, choisi le thème de la croisière « Rouge frisson ». Mais, il l’avait quitté la semaine dernière, et elle n’avait pas pu se faire rembourser son billet. C’était donc seule qu’elle partait, le cœur meurtri.
La cabine n’est pas très grande avec juste un petit hublot. Elle pose sa valise sur le lit et range rapidement ses affaires. Sur le dessus de la commode traîne un dépliant vantant la croisière, avec écrit en gros « Croisière Rouge frisson » et en dessous « Pour les amateurs de BDSM ». Intriguée par le sous titre, Kerry attr a p e la brochure et la feuillette pour tenter de deviner ce que cache ce sigle. La brochure promet des espaces privés et insonorisés, des donjons bien équipés, une mise à disposition de matériel sur simple demande, et les photos accompagnant le texte ne l’aide pas à comprendre mieux.
Elle repose le papier, se promettant de chercher plus tard, et décide de prendre une douche pour se laver de la poussière du voyage. Sous la douche, ses mains glissent sur son corps, pétrissent ses seins. Ses doigts s’égarent sur son sexe, en manque. « Ces derniers mois, Alexandre n’avait pas envie : trop de travail, trop de stress… c’est surtout qu’il avait trouvé une autre fille ailleurs ! pense t elle rageusement. Mais, elle compte bien se rattr a p e r durant la croisière. « Il doit bien y avoir quelques hommes célibataires et disponibles sur ce grand bateau. » En attendant, ses doigts titillent son clitoris et son majeur s’enfonce dans son sexe. Cela lui fait du bien, libère un peu sa tension, mais elle est encore loin de l’explosion de jouissance.
Kerry sort de la douche et se sèche rapidement. Elle admire son corps svelte dans la glace. A 28 ans, elle avait une poitrine menue, une taille fine et de longues jambes fuselées. Des jolies fesses rondes qui restaient fermes grâce au sport qu’elle pratiquait. Et son sexe, petite touffe dorée, était une invitation aux plaisirs charnels. Elle enfile un string, un petit débardeur et une mini jupe qui s’arrête à mi cuisse. Ses cheveux détachés lui tombe jusqu’au milieu du dos. Fin prête, elle monte sur le pont pour assister au départ du bateau et repérer ses futurs « proies » potentielles.
Le paquebot file sur la mer, et elle flâne sur le pont en jetant des coups d’œil au tour d’elle. Bizarrement, elle ne voit pas de famille avec e n f a n t , juste des couples ou des personnes seules. Elle se dirige vers le bar, lieu de regroupement des célibataires par excellence. Mais comme il est encore un peu tôt, il n’y a pas grand monde. Elle s’installe donc dans un fauteuil, à coté des baies vitrées, et sort un bon roman policier de son sac en attendant l’heure du repas, et surtout l’heure d’ouverture du club disco.
Elle sent que quelqu’un s’assoit dans le fauteuil en face d’elle, et jette un œil par dessus son livre. Un bel homme brun, 35-40 ans, habillé d’une chemise blanche et d’un pantalon noir. Un visage, qui paraît sévère, comme taillé à la serpe, un nez bien droit, une bouche charnue qui appelle aux baisers, et des yeux d’un vert profond… et pas d’alliance ! Bien qu’il lise un journal, il a vu qu’elle le détaillait. Et sous son regard intense, elle se sent rougir comme une collégienne prise en faute, et elle replonge le nez dans son bouquin. « Lance toi, se dit elle, il est pas mal. Et ça n’engage à rien de dire bonjour »
« Bonjour, je m’appelle Kerry. » dit elle avec un sourire timide. « Enchanté, M. » Kerry s’agite un peu sur son fauteuil, ce qui a pour conséquence de remonter sa jupe. Les yeux de M. se pose sur ses cuisses dorées. Faisant semblant de lire, Kerry sourit derrière son livre. « Voilà comment attr a p e r un beau mec » se dit elle. Elle écarte lentement les jambes, laissant apparaître un morceau de son string, qu’il ne manque pas de voir. Elle sent une douce chaleur l’envahir au niveau du bas ventre, et inconsciemment, tend son bassin ver lui. Son petit débardeur ne cache rien de son émoi, ses tétons pointant au travers du tissus. « Dites moi, M. est ce que vous savez ce qu’est le BDSM ? »
Sans lui répondre, celui ci se penche et lui murmure « Otez votre string, et je vous dirais à quoi cela correspond.». Elle ouvre de grands yeux étonnés par cet ordre direct, le ton impérieux, et ce pseudo chantage. D’un autre coté, cela l’excite terriblement. Elle se redresse un peu et regarde autour d’elle pour repérer les toilettes. Mais, au moment où elle commence à se lever, M. l’attr a p e par le bras :
- Non, faites le ici !
Le bar a commencé à se remplir, il y a nettement plus de monde que quand elle est arrivée. « Il est fou » pense t elle. Il l’a regarde, un sourire ironique flottant sur ses lèvres. « Il pense que je n’en suis pas capable, que je ne suis juste qu’une petite allumeuse ». Alors, elle se cale dans le fond du fauteuil, remonte sa jupe sur les cotés, passe ses doigts sous l’élastique du string, jette un œil pour voir si personne ne les regarde, et le retire prestement, le faisant glisser sur ses jambes. Avec un sourire triomphant, elle l’offre à M. qui le hume lentement avant de le mettre dans sa poche.
« Ne te sens tu pas plus à l’aise ainsi ? » demande t il en la tutoyant. Kerry sourit « Si, effectivement, je me sens plus légère » « Ecarte tes cuisses. » Elle lui obéit tout en pensant « Mais qu’est ce qu’il m’arrive ? Je deviens folle ! ! ». « Mieux que ça, je ne vois rien. » Elle écarte un peu plus. « Caresse-toi » Elle passe sa main sous sa jupe, glisse ses doigts dans sa toison pour aller agacer son clitoris. Sa respiration se fait plus rapide et elle lui murmure « Demandez moi tout ce que vous voulez ». Elle est trempée de désir. Elle n’attend qu’une chose, qu’il la prenne pour éteindre le feu qui couve entre ses reins.
M. la regarde, comme s’il la jaugeait. « Tu es novice. Je ne suis pas sure que tu sois prête à me donner tout ce que je pourrais te demander. » « Si, si, souffle t elle, je suis prête. Et puis je ne suis pas vierge vous savez » « Il ne s’agit pas de cela. Il faut que tu te donnes complètement à moi, que tu m’obéisses sans te poser de question » Kerry n’écoute pas vraiment ce qu’il lui dit, tellement elle a envie de lui, mais elle hoche la tête en signe d’assentiment. Sa main cajole toujours son bouton gonflé, ses doigts caressent ses lèvres humides, s’immiscent dans les profondeurs de sa grotte « Si tu es d’accord, rejoins-moi dans la cabine 1064 dans 30 min. Ne sois pas en retard, et je t’apprendrais ce qu’est le BDSM ». Il se lève et la plante la, avec son désir inassouvi.
Kerry regarde sa montre « 30 min c’est trop court pour que je retourne à ma cabine prendre un sex toys » Elle hésite à aller dans les toilettes pour se caresser, elle sait que, vu son état d’excitation, ses doigts en suffiront pas à la soulager Elle file s’enfermer dans un cabinet. D’une main, elle retrousse sa jupe, de l’autre, elle s’active sur son clitoris jusqu’à ressentir un plaisir qui soulage un peu sa tension. Elle regarde de nouveau sa montre et sursaute, déjà 20 min de passé. Elle se sort prestement et se dirige vers les cabines. « Mon dieu, mais ce bateau est un vrai labyrinthe ! ! Où est donc la cabine 1064 ? ? » Elle regarde rapidement le plan. La cabine se trouve sur les ponts. Kerry se dépêche vers les ascenseurs et court dans le couloir. Devant la porte, elle reprend son souffle mais elle a 10 min de retard. Elle redevient toute timide, mais frappe quand même et attend.
« Entre » Kerry ouvre la porte et se retrouve dans une suite spacieuse, avec de grandes fenêtres qui donnent sur un balcon privé. « Tu es en retard ». Elle sursaute. Que le ton est froid par rapport à tout à l’heure. « Déshabilles toi. Et pour me montrer que tu as bien compris que tu devais te soumettre à mes désirs, tu vas venir jusqu’à moi à quatre pattes. ». Incertaine, elle retire son débardeur et sa jupe, puis, lentement, s’agenouille. Elle a un moment d’hésitation : et si elle était tombée sur un pervers. Mais la situation l’excite trop, et elle a tellement besoin de sexe, qu’elle se dirige vers lui comme il lui a ordonné, la tête basse, les yeux fixant le sol devant elle.
Arrivée devant lui, elle s’arrête, gardant la pose. « Dis-moi, pourquoi avoir choisi cette croisière, si tu ne sais pas ce qu’est le BDSM ? » demande t il « C’est mon ex petit ami qui a pris les billets. Il voulait me faire la surprise. » Elle n’ose pas relever la tête, de peur de lire dans son regard de la moquerie ou pire, de la pitié. « Il t’a fait la une sacré surprise, en tout cas. »
Il se lève, tourne autour d’elle. « BDSM est le sigle pour « bondage et discipline, domination et soumission, sado-masochisme ». Cela consiste en un ensemble de pratiques ou de jeux, fondé sur une relation consentante de dominant à dominé. Le but étant d'obtenir par l'exacerbation des sens et des fantasmes, un désir sexuel plus intense »
Kerry écoute cette fois attentivement les paroles. « Comme tu dois t’en douter, je suis dans la catégorie des dominants. Et toi, visiblement, tu serais plutôt soumise. » Elle hoche la tête en signe d’assentiment. « Je te propose donc de te faire découvrir cet univers, mais il faut que tu soit consentante, que tu en ai vraiment envie. Réfléchie bien, car, quoique je te demande, tu devras le faire sans te rebeller ou poser de question. Dans le cas contraire, tu seras punie pour ta désobéissance, de la façon dont il me plaira » « Puni ? Mais quel style de punition ? » « Flagellation, bondage, toutes celles que je jugerais utile à ton éducation » « Cela fera mal ? » « Oui, mais le plaisir qui en résultera sera plus fort, plus puissant, que ceux que tu as ressenti jusqu’à présent. »
Il s’arrête de marcher et appuie doucement sur la tête de Kerry pour que ses épaules touchent le sol. « Cambres bien ton dos. Écarte plus les jambes. Et avec tes mains, ouvres moi tes fesses. » Kerry obéit, tremblante de désir. Jamais, elle ne s’était sentie aussi vulnérable, aussi offerte à un homme. L’idée de se soumettre à cet homme ne lui paraît pas être dégradant, bien au contraire. Avec sa main, il lui caresse le dos « Cambres plus ». Elle glisse sur l’arrondie de son cul ainsi tendu.
Les doigts se perdent dans sa toison, écartent ses lèvres, frôlent son clitoris, le cajolent. Kerry gémit de plaisir. Un doigt s’enfonce dans son sexe, puis un deuxième « Tu es toute trempée » Les doigts se retirent et s’insinuent dans sa bouche, qu’elle lèche goulûment, espérant lui faire comprendre qu’elle à envie d’autre chose que ses doigts. Mais il les enlève aussi de sa bouche.
D’un coup, elle sent un doigt qui se pose sur sa rosette et tente de s’enfoncer. Elle serre les fesses « Non, non » murmure t elle « Tu n’as jamais été prise par la ? » « Non, jamais, je n’aime pas » « Si tu acceptes le marché, tu apprendras » déclare t il. « J’accepte, murmure t elle après réflexion, j’accepte de me soumettre à vous. » « Soit. Alors, à partir de maintenant, quand tu t’adresses à moi, tu m’appelles Maître, et tu continus de me vouvoyer. Compris ? » « Oui » répond elle. Une claque retentissante s’abat sur son cul. « Oui qui ? » « Oui Maître » souffle t elle. « Bien, ne bouges pas, je reviens. » Il se dirige vers une chambre, la laissant au milieu du salon, le cul en l’air, les mains tenant toujours ses fesses ouvertes. Kerry tente de voir ce qu’il va chercher mais elle n’ose pas trop tourner la tête.
Quand il revient, il tient visiblement quelque chose dans les mains. « Agenouilles toi. Je vais te montrer la position que tu devras prendre dans l’attente d’un ordre. » Kerry se redresse, et pose ses fesses sur ses talons. « Bien. Tu te tiens le dos droit, les épaules en arrière, les mains posées sur le haut de tes cuisses et les genoux écartés. » Kerry se met dans la position demandée. « Ecartes plus les genoux. Tu tiens ta tête droite mais tes yeux sont baissés, et ta bouche doit toujours être entre ouverte, prête à recevoir. » Il se place derrière elle, met son genoux dans son dos, pose ses mains sur ses épaules et la redresse. « Ainsi c’est mieux »
« Ceci, dit il en lui montrant un collier, est le signe de ta soumission envers moi. Le simple fait que tu le portes m’autorise à user de toi où, quand et comme il me plaira. En échange, je m’engage à prendre soin de toi, et à ne pas mettre ta vie en danger. »Elle hoche la tête. « Es tu sure d’avoir bien compris les termes du marché et d’en avoir envie ? » De nouveau, Kerry réfléchie. « Je ne sais pas si j’en serais capable, Maître, mais je ne demande qu’à apprendre. ». « Es tu prête a connaître la sodomie ? A pratiquer une fellation jusqu’au bout ? A t’abandonner corps et âmes à mes caprices ? » Kerry plisse le nez. « Je n’ai jamais pratiqué la sodomie, Maître, et la redoute. J’ai peur d’avoir mal. » « Ne t’inquiète pas, je te préparerais à la recevoir » « Quand à la fellation, ajoute t elle, j’ai avalé une fois mais je n’ai pas aimé du tout ! » « Il te faudra apprendre à aimer. »
Après réflexion Kerry se penche pour baiser les pieds de celui qui va devenir son maître. « A partir d’aujourd’hui, je suis à vous corps et âme. Usez de moi comme bon vous plaira » Il se penche alors et lui attache un collier en cuir noir, avec « Soumise » inscrit en doré, et 3 anneaux. A ses poignets et à ses chevilles, il fixe des bracelets de cuir aussi. Il se lève, examine de tous les côtés la jeune fille tremblante à ses pieds. Il se penche pour accrocher une laisse à l’anneau central de son collier. « Parfait, dit il, tu fais une très jolie soumise. Je vais pouvoir commencer ton éducation. Et nous allons commencer par quelques règles de base » Kerry incline la tête, attendant la suite.
« Mais avant tout, nous allons parler du safeword » Kerry relève la tête, intriguée « Le safeword ? Qu’est ce que c’est, Maître ? » demande t elle timidement. « C’est un mot de sécurité. Il est choisi par toi, pour me signaler si quelque chose ne va ou que tu as atteint tes limites. Car, quand tu supplieras pour que cela cesse, il faut que je puisse distinguer une douleur tolérable d’une souffrance insupportable. Il faut que cela soit quelque chose de simple, facile à retenir pour toi, qui te vienne spontanément. Penses y et dis moi. » Kerry reste un instant songeuse à ce qu’il vient de lui dire. Elle s’attendait effectivement à avoir mal mais à ce point la. Pourtant, cette perspective l’attire tout en lui faisant un peu peur. Elle le regarde « Je choisis Rouge, Maître » dit elle « Bien, maintenant que c’est fait, passons aux règles »
« Tout d’abord, tu dois garder une attitude humble et respectueuse envers moi, et de ce fait avoir toujours les yeux baissés. Ensuite, tu ne dois jamais croiser les jambes mais les garder entre ouverte, afin d’être accessible rapidement, à tout moment. » Pendant qu’il parle, il regarde la jeune fille, observant sur son visage, les réactions qui passent : peur, désir, tension, excitation… Elle est un livre ouvert, facile à déchiffrer. « D ’ailleurs, ajoute t il, le porte de sous vêtement t’est interdit à partir de maintenant, tu iras nue sauf si j’en décide le contraire. » Elle sursaute, le rouge lui montant aux joues. « Mais… » « Et surtout, le plus important, tu ne contesteras jamais un de mes ordres. Tu es la pour mon plaisir, et dois tout mettre en œuvre pour le satisfaire. Tu obéiras donc sans rechigner, ni tergiverser à tout ordre de ma part, est ce bien compris Kerry ? » « Oui, Maître » répond elle d’une petite voix
Il tire sur la laisse pour qu’elle le suive et l’entraîne dans la deuxième chambre. Kerry reste planté sur place par le spectacle qui s’offre à sa vue. Un homme nu, un bandeau sur les yeux et un bâillon dans la bouche est attachée sur une chaise. Bien que la position dans laquelle il est ne doit pas être très confortable, il présente une belle érection. Kerry est gênée mais la traction de la laisse lui fait reprendre ses esprits . Elle n’ose pas poser de question. Son maître la place devant l’homme à qui il retire son bandeau. Celui ci gémit en la voyant. Son sexe grossit un peu plus. Il jette un regard suppliant au Maître en ondulant du bassin. « Première leçon, dit celui ci, la fellation. Agenouilles toi devant lui et suces le bien, il l’a mérité. » Kerry se glisse devant se membre gonflé et commence doucement à le branler. Elle lèche du bout de langue la verge tendu et prend à peine le gland en bouche.
« Applique-toi mieux que ça ! » « Prends le entièrement » Les ordres pleuvent sur la pauvre Kerry, mais celle ci n’y arrive pas. « Non, non, s’écrie-t-elle, je ne peux pas faire ça » Son maître lui attache alors les poignets dans le dos puis, d’une main, lui saisie la tête et de l’autre l’oblige à ouvrir sa bouche. L’homme attaché engouffre son sexe dans la bouffe offerte, et commence des vas et vient. Il n’est pas long à venir et son sperme part en long trait chaud dans la gorge de Kerry, qui tente de ne pas avaler. Son Maître la détache et s’en va dans le salon « Suis moi ! » Elle le suit les larmes aux yeux et s’agenouille au pied du fauteuil dans lequel il s’est assis. « Je pense que tu n’es pas faite pour la soumission, lui assène t il, je vais donc te laisser partir. »
A ces mots, le cœur de Kerry bondit. Elle ne veut pas partir. Elle s’approche alors de lui, défait prestement sa braguette et sort son sexe déjà raide. « Je vais lui montrer, pense t elle, que je peux le faire, que ce n’était qu’une faiblesse passagère. » Elle le lèche sur tout sa longueur et sa langue laisse des sillons sur le sexe érigé. Elle aspire ses testicules, les fait rouler sur sa langue pendant que sa main le branle. La main, que son Maître avait posé sur sa tête comme pour la repousser, se crispe. Encouragé de sentir le désir monté, Kerry continue. Elle le prend dans sa bouche, le tête, monte et descend le long de cette tige raide. Son Maître appuis doucement pour qu’elle descende encore plus loin. Elle a presque le nez dans sa toison. Ses mains lui malaxent les testicules. Il gémit doucement. Elle le sent se tendre. Ses yeux croisent les siens quand il explose dans sa bouche. Et pour lui prouver qu’elle sait être obéissant, elle avale sa semence. Il lui sourit « Tu apprends vite. Mais tu seras puni pour m’avoir donné du plaisir sans que je t’y autorise » Kerry lui sourit en reprenant sa place « Comme il vous plaira, Maître »
Il lui demande alors de s’allonger sur ses genoux, d’écarter les jambes et de tendre ses bras devant elle. De nouveau, elle se retrouve le cul en l’air dans une position pas très confortable. Son Maître a relever un de ses genoux plus que l’autre ce qui fait que son buste penche bien vers l’avant. « Comptes et ne bouges pas. » Sa main caresse la rondeur de ses fesses, s’égare dans son sexe moite de désir et la première claque la prend tellement par surprise qu’elle en oublie de commencer à compter. « Comptes ! » aboie t il en lui assénant une nouvelle claque. « Un, deux, trois… » Les claques s’enchaînent, ne laissant pas répit à son petit cul. Au bout de 10, elle a les fesses brûlantes. A 15, elle gémit et se tortille sur les genoux pour échapper à cette main qui s’abat. « Arrêtes de bouger ». A 20, elle est en pleure, promettant de ne plus recommencer. Il l’a redresse et elle se remet à genoux. Elle sursaute quand ses fesses douloureuses touchent ses talons. Son Maître lui essuie le visage baigné de larmes. « C’est bien, je suis fier de toi » dit il doucement.
A ce moment, rentre dans la cabine, une belle femme rousse. « Oh, je te dérange M. ? » « Non, pas du tout. Entre D., que je te montre ma nouvelle soumise. » D. s’approche, tourne autour de Kerry qui esquisse un geste pour se cacher « Ne bouges pas ! » Elle est rouge de honte d’être nue ainsi sous le regard de cette femme. « Elle a déjà les fesses rouges » remarque D. « Oui, elle a été puni pour m’avoir donné du plaisir sans y être autoriser » dit M. en leur servant un verre. « En tout cas, elle est jolie » Ils s’assoient tous les deux et continue de discuter comme si elle n’était pas la. « Il faut par contre tout lui apprendre. D’ailleurs je lui ai fais vider Luc pour sa première leçon de fellation, tu ne m’en veux pas ? » « Non, tu as bien fait. Il en avait besoin. »
« D’ailleurs, je vais aller le détacher pour qu’il se lave » D. se lève avec grâce et se dirige vers sa chambre. « Au fait, lui demande M. , tu as de la cire ? Je voudrais l’épiler entièrement. » « Hum… Oui, je dois avoir ça dans mes affaires. Je vais te la chercher. » Il se retourne vers elle « Allonges toi sur la table basse et écartes tes jambes. » D. revient avec un petit pot qu’elle met dans le micro onde pour faire ramollir la pâte. Puis elle étale des petites bandes sur la toison dorée de Kerry et, avec un petit sourire, elle arrache d’un coup sec une touffe de poils. Kerry sursaute sous la douleur mais ne bouge pas. D. va vite et le sexe est rapidement nu. « Retournes toi, dit elle, qu’on s’occupe de ton anus » Elle prend une pince à épiler et commence a retirer les poils. En quelques minutes, Kerry se retrouve aussi lisse qu’à sa naissance. Son Maître examine le travail, passe sa main sur les lèvres dégagées et entre la raie de ses fesses. « Nettement mieux ! » Il pince entre son pouce et son index le clitoris, le fait tourner. Kerry gémit sous la caresse, se cambre. Malgré ce qui vient de se passer, son désir est toujours là, inassouvis. Il la doigte habilement, profondément. « S’il vous plait, Maître, murmure t elle, laissez moi jouir. » Pour toute réponse, il retire ses doigts.
« Vas t’asseoir à coté de la table on va manger » D. va chercher Luc. Kerry remarque que lui aussi est entièrement épilé. Il se penche en avant, ses mains tenant ses chevilles et D. lui enfonce un plug de bonne taille. Il ne bronche même pas au passage de l’engin. Puis elle l’attache de nouveau avec art sur une chaise.
A cet instant, on frappe à la porte « Groom service ». M. va ouvrir et laisse passer le garçon avec son chariot. « Mettez le à coté de la table ». Si le groom ne laisse pas paraître son étonnement devant ce spectacle, il dévore Kerry des yeux. Ses yeux se posent sur son collier, sur ses seins tendus, enfin sur son sexe ouvert, offert au regard. Kerry se sent gênée sous le regard concupiscent du groom. Elle remarque qu’une bosse sur son pantalon se forme et grossit rapidement. « Merci, nous laisserons le chariot dehors quand nous aurons fini ». Le groom sort en jetant un dernier regard plein d’envie. « Je pense, dit M, qu’avant la fin de la croisière, je te donnerais à lui » Malgré sa peur, Kerry tremble d’excitation. M. et D. dînent en bavardant gaiement. Kerry, assise aux pieds de son Maître, attend qu’il lui donne à manger. Il prend entre ses doigts de petits morceau de nourriture qu’il glisse dans sa bouche entre ouverte. Il lui essuie le menton quand du jus coule.
Après manger, M. entraîne Kerry dans la salle de bain. Il lui retire le collier et les bracelets, et la place sous la douche. L’eau tiède qui coule sur sa peau lui fait du bien, détend ses muscles endoloris d’être resté assise bien droite à genoux. Son Maître attr a p e le savon et lui passe sur le corps. Il la lave, lui masse les épaules doucement. Ses mains glissent sur ses seins qu’il pétrit rudement. Les tétons se dressent. Il les prends entre les doigts, les pince, les tourne. Kerry gémit sous la rude caresse. Elle a tellement chaud que l’eau lui paraît froide. Une main descend vers son sexe qu’elle tend pour lui faciliter l’accès.
Elle prend possession de son clitoris et lui fait subir le même tourment qu’à ses seins. Un doigt s’enfonce enfin en elle, suivit par un deuxième, et puis d’un troisième. Kerry chavire. La respiration haletante, elle râle de plaisir. Les vas et vient dans son sexe vont de plus en plus vite. « Jouis » lui ordonne son Maître. Elle sent la jouissance monté par vague du fond de son ventre et elle hurle de plaisir. Jamais elle n’avait jouie de manière aussi forte. Elle tremble tellement que, si son Maître n’avait pas été la, elle serait tombée dans la douche. Il l’enveloppe dans une serviette, la sèche et la porte sur le lit. « Dors, pour reprendre des f o r c e s. Tu en auras besoin demain. » Sur cette promesse de mystères à venir, elle s’endort blottie contre son Maître.
Le matin, Kerry se réveille avec l’impression d’avoir rêvé, mais les courbatures de son corps la rappellent à la réalité. Elle se remémore la journée d’hier. Sous le coup d’une impulsion, elle a donner, à un homme qu’elle ne connaissait pas, tout pouvoir sur son corps. Cela est complètement fou, mais rien que d’y repenser, elle commence à mouiller. Elle se tourne pour regarder l’homme à coté d’elle. Même endormi, il se dégage de lui une f o r c e , un magnétisme auquel elle ne peut se soustraire. Comme s’il avait senti son regard, il ouvre les yeux.
« Bonjour, Maître. Avez vous bien dormi » « Bonjour, Kerry. Oui très bien. Es tu en forme pour cette nouvelle journée ? » « Oui, Maître » Il se lève et se dirige vers la salle de bain, et Kerry peut admirer son corps nu. Il est grand, sa musculature est bien dessinée. Elle voit son sexe, qu’elle a goûté hier, mais qui ne l’a pas encore posséder. « Le fera t il ? » se demande t elle. Elle refait le lit pendant qu’il est sous la douche, se doutant qu’il n’apprécierai pas qu’elle reste sous la couette.
Elle a à peine fini quand il sort, et il a un sourire approbateur en voyant ce qu’elle fait. « Viens, allons manger. » Dans le salon, ils retrouvent D. et Luc, qui est assis aux pieds de sa maîtresse. M. s’installe et Kerry se place dans la même position que Luc, aux pieds de son Maître. « Bonjour, D., tu comptes faire quelque chose aujourd’hui ? » « Oui, le bateau fait escale dans 1 heure. Je vais aller faire une visite avec Luc. Tu veux venir avec moi ? » « Non, merci. Je vais apprendre à Kerry les délices de la sodomie » « Tu veux que je reste pour t’aider ? » « Non, je suis sure que tout va bien se passer » dit il en regardant Kerry intensément. Celle ci pâlit. Elle avait un peu espérer qu’il ne l’y initierait pas aussi vite. Après le petit déjeuner, D. et Luc s’en vont, laissant Kerry seule avec son Maître.
« Bien, allonge-toi sur le ventre sur le pouf. Cambres bien le dos et tends ton cul. Avec tes mains écartes tes fesses » Kerry se met dans la position voulue avec appréhension. Elle sent un doigt tester la résistance de son anus « Détends toi, sinon ça risque d’être douloureux. » « Plus facile à dire qu’à faire » pense t elle. Il étale un peu de gel et son doigt s’enfonce lentement. Il fait quelque va et vient, puis tourne pour élargir son petit trou. Le doigt ressort. Il rajoute du gel et enfonce cette fois deux doigts. Kerry gémit. « Détends toi ». Il fait des mouvements lents et profonds. Puis ouvre ses doigts en ciseaux, remet du gel et en insère un troisième. « Tu es étroite » dit il en enfonçant un peu plus ses doigts. « On va y aller progressivement ». Kerry halète.
C’est la première fois que quelque chose se faufile par cet orifice. Et malgré un peu de douleur, elle commence à être tremper. Les doigts ressortent, et elle distingue son Maître entrain de se saisir d’un plug. Se rappelant celui qu’elle a vu s’enfoncer entre les fesses de Luc, elle craint le pire. De nouveau du gel sur sa rosette, et un objet dur et froid s’insinue en elle. Son Maître pousse doucement et l’introduit de plus en plus loin. Elle sent qu’elle s’ouvre comme une fleur. « Voilà, dit il satisfait, il est en place. Il ne reste plus qu’à l’attacher pour être sur que tu ne le perdes pas. Relève-toi ».
Kerry se redresse, fait quelque pas, un peu perturbée par cet objet en elle. Non pas qu’il la gêne dans ses mouvements, mais cette sensation d’être toujours ouverte lui est bizarre. Son Maître passe une petite chaîne autour de sa taille, puis il relie la base du gode à la chaîne par des petites chaînettes : une qui passe dans la raie de ses fesses, deux autres entourent son sexe. Ainsi faisant, il constate l’état d’excitation. « Je vois que ça ne te déplait pas tant que ça » dit il avec amusement. « Non, Maître, répond elle en rougissant, c’est même plus tôt agréable » « Je vais te le laisser ce matin, puis je te le remettrais dans l’après midi. Ainsi tu vas t’habituer Habille-toi, nous allons aller dans ta cabine récupérer tes affaires. » Kerry remet sa jupe et son débardeur, et guide son Maître dans les couloirs.
Une fois dans la cabine, il regarde vite fait ce qu’elle avait emporté. « Tous tes sous vêtements tu peux les ranger dans ta valise, tu n’en auras pas besoin. » Kerry range au fur et à mesure qu’il lui tend des affaires. « Les pantalons aussi. » Il met de coté les petites jupes, et des brassières très courtes. « Tu n’as pas de robe de soirée ? » « Non, Maître, je ne pensais pas dîner dans les salons. » « Nous irons faire un saut dans les boutiques du bateau pour te trouver quelque chose. »
Après avoir vidé les placards, il se dirige vers la salle de bain. « Je peux m’en occuper si vous voulez Maître » dit Kerry. Elle vient de repenser au vibro et aux boules de geisha qui étaient dans sa trousse de toilettes. « Il y a quelque chose que je ne dois pas voir ? ». Elle devient rouge. « Non, non, c’était juste pour aller plus vite, Maître » bafouille t elle. Il entre, et elle l’entend fouiller dans la pièce. Quand il ressort, il tient dans une main sa trousse de toilette et dans l’autre les boules et le vibro. « Tu voulais me les cacher ? » « Non, pas du tout, Maître » murmure t elle. « Tu mens mal, répond il, Allons déposer tes affaires dans la suite, je verrai plus tard pour la punition. » Kerry baisse la tête et le suit. Elle sait qu’elle aurait du lui en parler de son propre chef.
Après avoir ranger les affaires dans la chambre, ils repartent faire les boutiques du bateau. Kerry se sent déplacer dans ces magasins de luxe. Elle ose à peine toucher les vêtements. Son Maître l’entraîne dans un petit salon d’essayage privé. « Reste la, je reviens » A son retour, il a plusieurs articles dans les bras. «Essayes ça » dit il en lui tendant les vêtements. Il s’installe dans un fauteuil et la regarde se changer. « Encore heureux qu’il n’y a pas de vendeuse » pense Kerry. « Qu’aurait elle penser de mon « string » en chaîne avec le gode ? » Mais, à peine a t elle formuler sa pensée, qu’une jeune femme rentre « Bonjour, je suis Nathalie. Vous avez besoin d’aide ? » Kerry devient rouge comme une pivoine et aimerait disparaître d’un coup. « Non, pas pour le moment, répond son Maître, mais s’il y a besoin je vous rappellerais. »
La jeune femme repart, non sans avoir regardé Kerry longuement. « Tu lui plais visiblement. As tu déjà fait l’amour à une autre femme ? » demande il « Non, jamais » souffle t elle. Au sourire qui se dessine sur ses lèvres, elle devine sa pensée et sait qu’il lui fera découvrir. Cette idée ne la choque pas tellement. « Cela doit être doux d’être aimé par une autre femme, pense t elle, elle sait les gestes qui procure du plaisir »
« Arrête de rêvasser, et habille toi » Kerry sursaute d’être ainsi prise en faute et se dépêche d’enfiler une chemise vaporeuse dans les tons verts. Transparente, elle lui arrive juste en dessous des fesses. Il lui ceint une ceinture d’un vert plus soutenu autour de la taille. Elle tourne sur elle même pour qu’il puisse admirer. « Cela ira très bien pour une fin de soirée. Mets la jupe avec. » Elle enfile une jupe droite, fendu à l’arrière. Si la chemise n’était pas transparente, elle l’aurait l’air d’une « executive woman ». Il lui tend ensuite une robe tablier crème, qui se ferme avec des liens, dans le dos. «
Rapide à enlever. » remarque t il. Enfin, elle essaye une robe en soie noire, qui s’arrête à mi cuisse, retenue par de fines bretelles avec une fermeture éclair dans le dos. Elle se retourne pour que son Maître l’aide à la fermer. Elle se contemple dans le miroir. « Il a le coup d’œil, pense t elle, sans même me demander ma taille, la robe me va à la perfection ». Celle-ci, fluide, dessine ses courbes sans pour autant la serrer. « On te trouvera des chaussures aussi ».
Pendant qu’elle se regarde dans le miroir, son Maître s’est placé derrière elle. Kerry relève ses cheveux et il fait glisser lentement la fermeture dans son dos. La robe glisse à ses pieds. Elle sent son souffle dans son cou. Il effleure délicatement son corps. Ses seins se dressent et elle recommence à mouiller. Il attr a p e ses tétons dressés, les pinces durement et les fais rouler entre ses doigts. « Regarde comme tu es belle, ainsi offerte » Kerry soupire, les yeux mi clos et la tête posée sur l’épaule de son Maître. Une de ses mains se dirige vers son bouton gonflé de désir. « Ne te touches pas. Et passes tes mains dans le dos » Pendant qu’il pique son cou de petits baisers, ses mains continuent leurs dures caresses sur ses seins.
De ses doigts, Kerry sent le sexe se son Maître commencer à enfler. Elle le cajole à travers le tissus du pantalon, et, à la pression des mains sur ses seins, elle comprend qu’il apprécie. « Suce moi » lui murmure t il. Pendant que Kerry s’agenouille devant lui, il ouvre son pantalon, et en sort son sexe tendu. Elle le décalotte adroitement et le lèche comme si c’était une glace. En même temps, une de ses mains flatte ses bourses, les soupèse, les malaxe délicatement. Avec sa langue, elle part du gland, descend le long de la hampe, aspire ses testicules. Avec sa main, elle le branle lentement. Puis sa langue remonte. Arrivé en haut, Kerry fixe son Maître et l’avale.
Elle commence du gland pour descendre le plus loin possible. Sa bouche exerce une légère pression sur le membre, pendant les lents mouvements. Elle glisse une main sur les fesses de son Maître pour aller explorer son anus avec un doigt. « Ote ta main » Elle la retire prestement. « En n’en profite pas non plus pour te caresser. » Cet interdit avive encore plus son envie, et elle sent sa cyprine coulée le long de sa cuisse. Elle regarde son Maître d’un air suppliant, mais il lui sourit en faisant non de la tête. Pressée par la main sur sa tête, elle accélère ses mouvements, et il ne tarde pas à se déverser dans sa gorge en longs traits.
Elle boit le liquide tiède en finissant de le lécher. « Tu fais de remarquables progrès, dit il en refermant son pantalon, Rhabille toi et ramasse les affaires. On a encore quelques boutiques à faire avant le déjeuner. ». Il se dirige vers la caisse « Vous n’avez pas à payer ses vêtements » dit elle « Et pourquoi ? » « Déjà, vous ne me connaissez que depuis hier… et surtout ils sont beaucoup trop chers » Il l’a prend par le menton et la f o r c e à le regarder. « Cela me fait plaisir de te les offrir. Et puis, ils mettent en valeur ta sensualité, que tu caches sous tes fringues de gamine » « Merci, Maître » murmure t elle, émue. Jamais un de ses ex ne lui avait offert la moindre babiole, ou à peine un bouquet de fleurs. Et la, cet homme qui ne savait rien d’elle le jour d’avant, lui fait des cadeaux magnifiques. Pendant qu’il fait mettre la note sur le compte de la suite, il écrit une petite carte qu’il tend à la vendeuse. Celle ci la lit, regarde Kerry, et hoche la tête avec un sourire. Kerry se doute de ce qu’il a écrit, mais, comme il ne lui en parle pas, elle ne pose pas de question.
Ils sortent du magasin et il la guide jusqu’à une boutique de lingerie fine. Kerry est étonnée quand elle le voit entrer, vu qu’il lui a fait ranger tous ses sous vêtements. Elle le suit à l’intérieur, et reste émerveillée devant les différents ensembles de soie et de dentelle. Elle les effleure de la main. « Comme le tissus est doux et tellement différent de mes ensembles en coton, pense t elle, et les couleurs sont chatoyantes. » « Kerry, viens par ici » Elle se dépêche de rejoindre son Maître dans les cabines d’essayage. Il referme le rideau derrière elle, et de nouveau, elle ôte ses habits. Il passe autour de sa taille un porte jarretelle noir.
Elle enfile des bas noirs transparent qui galbent ses jambes, et les accroche avec les pinces. La forme du porte jarretelle met en valeur ses hanches fines, et encadre son sexe nu. « Très joli, déclare t il, Au fait, le gode ne te gêne pas ? » « Non Maître » Kerry est étonnée car elle avait complètement oublié sa présence, alors qu’elle pensait que ce serait nettement plus gênant. « Retire le porte jarretelle et met ce bustier » Le bustier qu’il lui tend est aussi dans les tons verts, avec des broderies et des perles. Kerry le place devant elle, et son Maître le lace, très serré, dans son dos. « Rentre le ventre » La poitrine de Kerry repose sur les balconnets, qui ne cachent rien. Sa taille paraît encore plus fine. « J’ai un peu de mal a respirer Maître » « Il faut que tu respires avec tes poumons et non avec ton ventre, répond il. On va les prendre, ainsi que les bas. »
Ils se dirigent ensuite vers un magasin de chaussure. « Tu fais quelle pointure ? » « Du 38 Maître » Il attr a p e une paire d’escarpin noir, avec des talons vertigineux aux yeux de Kerry. « Essaye les » Elle qui a l’habitude de porter des ballerines ou des petites baskets, a les pieds compressés dans ces escarpins pointus. Mais c’est surtout la hauteur des talons qui l’inquiète car elle n’en porte pratiquement jamais ou alors pas très haut. « Vas y marche une peu » Elle se redresse et fais quelque pas en titubant. « Je ne suis pas à l’aise, Maître, dit elle, j’ai peur de me tordre une cheville. » « Il va falloir que tu t’entraîne à marcher avec, vu que tu vas les porter souvent. » Il les prend ainsi qu’une paire de chaussure d’été en semelles compensées. Kerry remet ses ballerines et sort derrière lui. « Retournons à la suite pour manger. » Elle est ravie d’entendre cette remarque car elle a faim depuis un moment mais n’ose pas lui dire.
Une fois rentré, Kerry range ses nouvelles affaires dans la chambre. « Quand nous sommes ici, tu seras toujours nue, lui dit son Maître sauf si j’en décide autrement. Pour les sorties, je t’indiquerais ce que tu dois porter. » Elle se dévêt donc encore une fois « J’aurais passer ma matinée à enlever et remettre mes habits » pense t elle avec amusement. Il s’approche d’elle, détache les chaînettes. « Penche toi » Prenant le gode par la base, il le retire doucement. « Je verrais cet après midi si je te le remets. » « Maître, puis je aller aux toilettes » demande t elle timidement. « Oui. Rejoins moi après dans le salon. » Elle file dans la salle de bain, et en profite aussi pour se passer un peu d’eau froide sur son clitoris afin de refroidir ses ardeurs. Elle se brosse rapidement les cheveux et va le rejoindre.
Il est assis dans un fauteuil, un verre à la main. Il la regarde venir à lui, s’agenouiller avec grâce à ses pieds et prendre la position. Kerry est consciente de l’examen attentif. Elle est droite, les jambes bien écartées et les yeux baissés. « Ta bouche n’est pas entre ouverte » « Pardon, Maître » Il prend le collier posé sur la table pour lui mettre. C’est à ce moment la qu’arrive le chariot avec le déjeuner, poussé par le même groom que la veille. « Il ne pouvait pas arriver quand j’étais dans la salle de bain, pense t elle, A croire qu’il le fait exprès ! ». Il prend son temps pour mettre en place le déjeuner tout en jetant des coups d’œils furtifs vers eux. Avant de sortir, il s’arrête un instant pour regarder son Maître lui fixer les bracelets aux poignets.
Kerry est furieuse mais cela n’a pas l’air de troubler son Maître Il sourit, semblant lire en elle se qui la tracasse. « Cela te perturbe tant que ça qu’il te regarde ? » « On a l’impression qu’il bave devant un morceau de viande » marmonne t elle rageusement. « Tu es belle, et il en profite. Je ne comprend pas en quoi cela te dérange. » « f o r c e ment, dit elle, ce n’est pas vous qui êtes nu, exposé au regard de tous. » Il plisse les yeux et son visage devient sévère. « Ne prend pas ce ton avec moi » Elle baisse la tête, les sourcils toujours froncés de colère. « Excuse toi » « Pardon, Maître » bredouille t elle « Mieux que ça » « Je vous demande pardon de vous avoir parler sur ce ton, Maître, je vous promets de ne plus recommencer. » dit elle sans grande conviction.
« On reparlera de ça ce soir. En attendant, vas t’installer sur le balcon» Kerry va s’agenouiller à coté de la petite table. Le vent la fait frissonner. Son Maître arrive, des assiettes dans les mains, avec dedans, des petits morceaux de melon, de jambon cru, de crudités. Il glisse délicatement de petites bouchées entre les lèvres de Kerry. Elle retient ses doigts qu’elle suce avidement en le regardant, tentant de lui faire comprendre qu’elle a envie de lui mais il fait comme s’il ne le remarquait pas. Ils terminent le repas tranquillement, puis il l’emmène dans la chambre. « Allonge-toi » Kerry s’étend sur le lit. Il lui attache les poignets ensembles, et avec l’aide d’une petite chaîne, les fixe à l’anneau centrale de son collier. Ainsi, elle ne peut descendre les mains plus bas que son nombril. « Repose toi, je viendrais te réveiller un peu plus tard » dit il en refermant la porte. Elle se sent terriblement frustrée : non seulement, il ne l’a pas touché mais en plus elle ne peut se soulager. Elle finit quand même par s’endormir.
Kerry se réveille dans le noir, en sursaut, un peu désorientée. Un instant elle se demande pourquoi elle ne peut pas bouger les mains, puis se rappelle qu’elles ont été attachées. Elle entend quelqu’un qui s’approche du lit et distingue vaguement une silhouette mais ne reconnaît pas la personne. Elle manque de pousser un cri quand une main se referme sur sa cheville. « Kerry, dit son Maître. Il est l’heure de se lever » Un soupir de soulagement s’échappe de sa bouche. « Vous m’avez fait peur, Maître, murmure t elle, j’ai cru que quelqu’un était entré pour me faire du mal. » « Te faire du mal ? Ce ne serait pas plutôt pour te faire du bien, ici ? interroge-t-il en posant sa main sur son sexe. Elle gémit de plaisir et écarte les jambes pour lui faciliter l’accès. « Si un inconnu rentrait maintenant, je ne suis pas sure que tu le repousserais, dit il d’un ton moqueur en la doigtant doucement. « Pourquoi, Maître, ne me prenez vous pas ?» demande-t-elle dans un souffle « Pour t’enseigner la patience. » Et il retire ses doigts. Elle le regarde, implorante, pendant qu’il la détache.
« Prend tes escarpins et suis moi. Tu vas t’entraîner à marcher avec » Kerry enfile les chaussures. « Tiens toi droite » Elle chancelle sur ses jambes. « Tu remarques qu’avec des talons hauts, ton centre de gravité c’est modifié. Donc cambre le dos pour trouver ton nouvel équilibre. » Elle fait quelques pas, se cambre un peu plus. « Fais plusieurs fois le tour du salon. Je te dirais d’arrêter quand je serais satisfait de ta démarche. » Elle avance de façon malhabile, fait lentement le tour du salon. « Un peu plus vite. Sois plus décontractée » Elle accélère, trébuche et manque de tomber. « C’est pas facile, râle t elle, et puis c’est idiot de tourner en rond comme ça. » « Kerry » « Non, c’est vrai, continue t elle, je vais juste réussir à me fouler une cheville » « Kerry ! »La voix est basse, le ton sévère.
Elle se retourne et baisse la tête « Pardon, Maître, murmure t elle, je m’emporte » « Kerry, dit il en se levant, la question n’est pas de savoir si tu trouves cela idiot. Je t’ai donné un ordre et tu l’exécutes. Après, si tu souhaites le contester, tu t’exposes à une punition. » Il lui tend un plateau sur lequel il a posé deux verres remplis d’eau. « Pour ton bien, lui conseille t il en enrobant de sa main la rondeur de ses fesses, fais attention à ce plateau. Maintenant, recommence. » Elle s’élance de nouveau, gardant le plateau le plus horizontal possible. Au bout d’un quart d’heure, sa démarche prend de l’assurance. « Bien, ça va de mieux en mieux, quand tu veux. Continue comme ça » Une demi heure plus tard, Kerry n’en peut plus. Elle a mal aux pieds et son allure s’en ressent.
« Ce sera tout pour aujourd’hui. Pose le plateau et allons prendre une douche, nous sommes invités à prendre un verre ce soir. » « Par qui, Maître » demande t elle en posant le plateau sur la table « Tu verras bien, sois patiente » Elle se dirige vers la salle de bain, retire ses chaussures en faisant la grimace. Ses pieds, qui n’ont pas l’habitude d’être ainsi arqués, la font un peu souffrir. Mais elle se glisse sous la douche prestement, en repensant à celle de la veille, où son Maître l’avait fait jouir si délicieusement. Il se coule aussi, nu, sous la douche, lui retire son collier mais laisse les bracelets avec lesquels il attache les poignets de Kerry autour de la tringle du rideau.
Il prend le jet et le dirige vers elle. L’eau chaude coule sur son corps moite de désir. De nouveau, il la savonne, mais ses mains ne s’attardent pas. Elle a envie de crier de frustration. Il lui lave aussi les cheveux, puis les rince. « Voulez vous que je vous lave, Maistre » demande t elle. « Je suis sûr que tu y prendrais beaucoup de plaisir, répond il avec un sourire, mais nous n’avons pas le temps. » Il lui détache les bras et lui ôte ses bracelets. Ils sortent de la douche et se sèchent. « Assied toi et masse tes pieds avec cette crème, elle te soulagera » Pendant qu’elle s’exécute, il regarde parmi ses affaires et lui tend la petite robe noire, ainsi que le porte jarretelle et une paire de bas. Elle s’habille prestement et chausse ses escarpins, tandis que de son coté il passe une chemise blanche avec un pantalon noir. Il s’approche d’elle « Tu es très belle, dit il en lui caressant la joue, allons y. » Elle rosit sous le compliment, et le suit.
Dans le salon, il s’arrête, comme s’il avait oublié quelque chose. « J’ai quelque chose qui va te rendre encore plus jolie, dit il, relève ta robe , prend appui sur la table et écarte les jambes » Il va chercher un petit sac noir du quel il sort un plug dont la base est sertie de strass. « Penche toi » Il humidifie ses doigts et les pose sur sa rosette. Un doigt s’insinue doucement, puis un deuxième « Tu es déjà plus détendu que ce matin. Ils rentrent facilement » Kerry halète, se cambre pour tendre son cul vers ses doigts. Si elle portait une culotte, elle aurait été trempée en un clin d’œil tellement elle mouille. Le plug est plus large que le gode du matin, et bien qu’elle soit très excitée, il a du mal à rentrer. « Retourne toi et assis toi sur la table » Elle fait face à son Maître, le plug à moitié entré. Elle pose le bout de ses fesses en basculant son bassin afin de ne pas appuyer sur son cul. Son cœur bat vite. Son Maître lui relève les cuisses en les écartant. Ses pieds se retrouvent posés sur les chaises de chaque coté. Pour ne pas perdre son équilibre, Kerry met ses mains derrière elle. Ainsi elle évite de reposer sur son cul dans lequel s’enfonce un peu plus le plug.
Son Maître prend son visage entre ses mains et l’embrasse. C’est un baiser très doux. Sa langue explore la bouche de Kerry, trouve sa langue. Elles se découvrent, s’emmêlent, s’agacent. Kerry sent le désir monté par vague. Elle a envie qu’il la prenne, là, sur la table. La langue a quitté sa bouche, et agace maintenant son lobe d’oreille. Les mains caressent son corps à travers la soie. Elle se sent électrisée par ce contact. Son corps n’est plus qu’un brasier qu’elle voudrait qu’il éteigne. Elle gémit, se cambre, tend son bassin vers lui. Dans son état d’excitation, elle ne sent même pas le plug qui s’enfouit encore un peu plus profondément en elle.
Sa rosette s’ouvre, engloutie l’objet, qui entre entièrement sans difficulté. Le souffle court, Kerry sent les doigts qui papillonnent autour de son sexe trempé. « Prenez moi, Maître, murmure t elle à son oreille, prenez moi je vous en supplie » Elle tente d’ouvrir son pantalon mais il lui prend les mains et les replace dans son dos. Elle attend, sans bouger. Il s’écarte d’elle, et lui sourit. « Relève toi, dit il en se dirigeant vers la porte, on va être en retard » « Vous ne pouvez pas me laisser comme ça, Maître » implore t elle. Il se retourne, sévère. « Je le peux, et si tu ne te dépêches pas, ça sera encor plus inconfortable pour toi. » Elle ne bouge toujours pas et le regarde, implorante. Il revient vers elle « Tu ne fais qu’allonger la liste de tes fautes de la journée » Il sort un objet de sa poche et pose sa main sur le sexe palpitant. « Si nous étions chez moi, murmure t il à son oreille, je t’aurais fait goûter à la cravache pour cette insolence» Et d’un geste rapide, il introduit des boules de geisha au plus profond de son intimité.
Des larmes glissent sur les joues de Kerry. Elle sait que, tant qu’elle aura les boules, son désir sera inassouvi, et pire, attisé à chacun de ses mouvements. « Voilà ce que tu as gagné à ne pas te soumettre. Maintenant, va te passer de l’eau sur le visage. Et dépêche toi, on nous attend » Elle se lève et se dirige vers la salle de bain. Chaque mouvement est une t o r t u r e pour son sexe affamé. Les boules s’entrechoquent, faisant vibrer son vagin qui s’inonde de plus en plus. Elles entrent aussi en collision avec le plug, à travers la fine paroi. Son sexe n’est que vibrations et palpitations. Kerry repense à ce que lui avait dit son Maître, qu’il voulait qu’elle apprenne la patience.
Ce soir, elle lui a démontré qu’elle était encore trop impatiente. Elle se passe un gant de toilette imbibé d’eau sur la figure, se regarde dans le miroir. Elle y voit une jeune femme, les yeux brillants, les seins tendus de désirs. « Tu vas me faire répéter combien de fois de te dépêcher ? ? » Elle passe doucement le gant sur son sexe et ses cuisses mouillées, et se hâte de le rejoindre « Pardon de vous avoir fait attendre, Maître ». Ils s’en vont par les couloirs du bateau, grimpent les étages par les escaliers, et quand ils arrivent devant une porte, Kerry est de nouveau trempée. Il frappe à la porte et Kerry reste muette de surprise devant la personne qui ouvre.
Nathalie, la jeune vendeuse du magasin de vêtement, est la, devant eux. « Bonsoir monsieur M., dit elle, Entrez et soyez les bienvenus » « Bonsoir Nathalie, répondit il en poussant doucement Kerry dans le dos pour la faire entrer, comment allez vous depuis la dernière croisière ? » « Ils se connaissent, pense Kerry, pourquoi ne m’a t il rien dit ? » Ils se dirigent vers le canapé. Kerry reste debout, ne sachant si elle doit se mettre aux pieds de son Maître, mais il lui fait signe de s’asseoir à coté de lui. En s’asseyant, sa robe laisse entrevoir le haut de ses bas. Elle pose sagement ses mains sur ses genoux serrés.
Pendant que Nathalie prépare les boissons, son Maître lui murmure « Mets tes mains dans ton dos et écarte un peu tes cuisses » Il remonte le bas de sa robe. Quand Nathalie revient, elle ne manque pas de distinguer le sexe de Kerry, que la robe ne cache plus. Mais elle ne dit pas un mot, ni ne fait un geste. Elle s’installe en face d’eux comme si de rien n’était. Kerry gigote, mal à l’aise, ce qui fait remonter encore un peu plus la robe. « Alors, Nathalie, qu’avez vous prévue pour demain ? » Son Maître pose sa main sur son genoux et lui caresse la cuisse. Nathalie regarde cette main, comme hypnotisée. Elle a un peu de mal à soutenir la conversation. « Je connais bien la prochaine escale, souffle t elle, Je vous emmènerais dans une petite crique où on sera tranquille » La main remonte plus haut, les doigts frôlent le sexe, écartent les grandes lèvres. Kerry gémit, tend son bassin pour faciliter la caresse. Nathalie halète, se tord les mains. « Vous voulez la goûter, Nathalie ? » Elle le regarde, cherchant à voir s’il se moque d’elle. D’un geste, il l’invite à s’installer entre les jambes de Kerry. Elle ne se fait pas prier et s’agenouille devant ce sexe frémissant.
Bien que gênée, Kerry ne bouge pas, attentive à la caresse de la main de son Maître sur son sexe. Nathalie écarte encore plus les cuisses de Kerry et attire son bassin au bord du canapé. « Elle est jolie, dit elle, et bien docile. » Elle effleure le sexe de ses longs doigts fins, l’explore. « Oui, répond il, mais encore trop impatiente » Elle décapuchonne délicatement le clitoris qu’elle titille de sa main droite. D’un coup, elle enfile deux doigts de sa main gauche, profondément, et joue avec les boules de geisha. Kerry se cabre sous la caresse.
Elle inonde les doigts de Nathalie de ses sucs. Celle ci les retire et les lèche goulûment. « Hum… Elle est bien juteuse » « Normale, elle est excité de puis ce matin. » Nathalie remet ses doigts, darde sa langue sur le bouton enfiévré, sur lequel elle donne des petits coups de langue, et se caresse avec son autre main. « Moi aussi, je suis excitée depuis ce matin, dit elle, depuis que je vous ai vu sur les moniteurs de la caméra ». Le S a n g de Kerry se glace. A t elle bien entendu ? Cette fille les a vu. Les pensées se bousculent dans sa tête mais la langue et les doigts de Nathalie lui font tout oublier. L’orgasme monte par vague. Elle se tend. Ses muscles se contractent sur les doigts de Nathalie qui plaque sa bouche sur le sexe qui l’inonde. Et Kerry joui comme jamais auparavant.
Elle s’effondre dans le canapé, le souffle court. A ses pieds, Nathalie continue de se caresser doucement. Son Maître se redresse « On va vous laisser tranquille. On se retrouve, demain, vers 10h, en bas de la passerelle » Elle hoche la tête en signe d’assentiment. Il se retourne vers Kerry et lui tend la main pour l’aider à se relever. Elle a encore les jambes un peu flageolantes. Dans le couloir, elle repense à ce qui c’est dit, et elle attr a p e le bras de son Maître « Pourquoi ne m’avez vous pas dit que vous la connaissiez ? » demande t elle énervée. Il regarde la main qui agrippe sa manche, puis lève les yeux vers elle. Elle le relâche aussitôt. « Je n’ai pas à te justifier mes actes, Kerry » « Mais vous auriez pu me prévenir. Et vous saviez pour les caméras ? » Il l’attr a p e par le bras. « Nous allons régler cela, dit il en la traînant jusque dans leur cabine. Il va falloir que tu apprennes à être moins curieuse ! » A leur arrivée, D. et Luc lèvent la tête, étonnés de cette entrée fracassante. Aucun de dit mot, pendant qu’il l’entraîne dans la chambre.
« Lâchez moi, vous me faite mal ! » Il l’a jette à terre, au pied du lit. « Mal ? Oh non, tu ne sais pas encore ce que c’est que d’avoir mal. » dit il d’un ton mielleux « Agenouilles toi devant le lit et mets tes mains dans ton dos. » Il lui fixe les bracelets aux poignets et les attache ensemble. D’une pression sur les épaules, il l’a fait s’allonger sur le lit et lui remonte sa robe. Kerry tourne la tête pour le regarder. Elle le voit retirer sa ceinture et enrouler la partie avec la boucle autour de sa main. Il s’approche. Elle entend le sifflement de la ceinture avant de sentir la morsure du cuir sur ses fesses. Un cri s’échappe de ses lèvres. « Pour avoir menti » Un deuxième coup s’abat « Pour t’être mise en colère » Kerry S a n g lote, murmure son repentir. Il prend son temps. Un troisième coup « Pour avoir été insolente » Elle se déhanche pour éviter la ceinture et, de se fait, réactive la danse des boules dans son ventre. « Ne bouges pas ou je double le coup »
Bien qu’elle ai le cul en feu, son sexe est de nouveau moite de désir. Ses reins se creusent, son cul se tend. Ses jambes s’écartent, et son Maître en profite pour placer son coup à la limite de sa fente. « Pour t’apprendre à être plus patiente » Sous ce coup sournois, Kerry mord la couverture pour ne pas hurler. Elle gémit, supplie qu’il s’arrête. « Retourne toi » Elle se tourne. Elle se courbe pour poser ses épaules sur le lit. Son sexe se lance vers lui. Elle ferme les yeux et attend le coup qui ne tarde pas. « Pour t’inculquer l’obéissance ». Elle s’écroule par terre, le souffle coupé, et pleure doucement. Elle pleure de douleur et de honte. Honte d’avoir tant aimé, honte d’avoir éprouvé du plaisir.
Son Maître lâche la ceinture et s’agenouille à coté d’elle. « Merci, Maître » lui murmure t elle. Ses fesses et son sexe pulsent au rythme des afflues de s a n g . Elle se sent vivante, elle qui n’avait plus goût à rien depuis sa rupture. Il lui détache les poignets, retire les bracelets et la déshabille délicatement. Il lui écarte doucement les fesses pour retirer le plug mais le contact de ses mains sur ses chairs meurtries la fait sursauter.
Quand il plonge ses doigts dans son sexe fiévreux pour retirer les boules, elle gémit de plaisir. Elle serre les cuisses pour emprisonner ces doigts qui la fouillent. Son Maître la regarde et sourit. Avec son pouce, il caresse le clitoris gonflé, pendant que ses doigts continuent leurs lents mouvements. Elle ferme les yeux, s’abandonne à la caresse, et jouit rapidement sous les doigts experts. Il continue malgré tout ces caresses, et un second orgasme, plus doux, l’assaille. Satisfait, il retire ses doigts humides, ainsi que le boules.
Il l’a soulève et la porte dans la baignoire. Le froid du métal lui fait du bien et anesthésie un peu la douleur. Il la douche à l’eau tiède et passe lentement le jet sur son corps. Elle se sent mieux. Il lui tend la main pour l’aider à sortir et l’enveloppe dans une serviette. Elle savoure ces gestes de tendresse. Dans la chambre, il lui met son collier « Allons manger » Ils rejoignent D. et Luc à table, qui ne manquent pas de remarquer l’état de ses fesses.
Elle s’installe aux pieds de son Maître et attend patiemment qu’il lui donne à manger. « La journée s’est bien passée ? » demande D « Très bien, et pour toi ? » « La ville était magnifique. Que faites vous demain ? » « J’ai rencontré Nathalie aujourd’hui et on a rendez vous demain, pour se promener » D. sourit d’un air entendu « Je suis sure que vous passerez un agréable moment ensemble » dit elle en regardant Kerry. Suite à ce qui c’est passé ce soir, Kerry n’en doute pas un instant que demain sera riche en surprise. Après manger, ils se couchent et il l’a prend dans ses bras. La douleur s’estompe. Elle se sent bien. Elle s’endort, au creux de son épaule, heureuse.
Par Sulfire
PRECISIONS
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Ce texte date, mais je ne pouvait pas ne pas commenter ! Sublime texte j'ai été happée du début à la fin, c'est fin, c'est beau merci pour ce doux moments. |
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